Acteurs territoriaux en gynécologie
Secrétariat : 04.94.60.50.80
Dr Richard Karoubi : 04.94.50.97.45
04.94.60.50.80
Dr Rick Andraos : 04.94.70.77.07 (Aups)
Dr Eve Garry : 04.94.76.71.16 (Claviers)
Dr Michael Silvestri : 04.94.50.85.52 (Draguignan)
Dr Caroline Teissier : 04.94.68.58.68 (Draguignan)
Dr Julien Jacques : 06.17.79.94.39 (Draguignan)
Dr Isabelle Thiebaud : 04.94.99.12.30 (Draguignan)
Dr Charlotte D’Aubreby : 06.40.51.57.72 (Flayosc)
Dr Stéphanie Tosselo : 04.22.56.02.16 (Lorgues)
Dr Perrine Wasermann : 04.22.56.02.16 (Lorgues)
Rachel Bremond : 07.83.21.84.55 (Aups/Salernes)
Alexandra Delrieu : 07.83.82.56.07 ( Lorgues)
Sophie Gillet : 06.85.02.69.76 (Draguignan)
Laura Torraca : 07.64.36.02.54 (Draguignan)
Christine Magne : 06.67.04.45.38 (Draguignan)
Michela LARROQUE : 06.69.34.93.70 (Draguignan)
Marielle Bruno : 06.66.52.12.59 (Flayosc)
Laura Bourgeais : 06.76.19.45.70 (Draguignan)
Marion Fargant : 06.74.01.37.34 (Le Muy)
Pauline Payet : 07.88.23.05.00 (Le Muy)
Bénédicte Cazes : 06.34.19.22.64 (Le Thoronet)
Camille Moreau : 07.83.17.10.26 (Lorgues)
Pauline Ivezic ( Roquebrune-sur-Argens
Camille Scherpereel : 06.22.27.81.11 (Vidauban)
04.94.14.50.56
Parcours de suivi gynécologique (non pathologique)
des femmes en âge de procréer et qui ne désirent pas de grossesse utilisent un mode de contraception.
Parcours de suivi gynécologique pathologique
Le parcours de suivi gynécologique pathologie peut être réalisé par des gynécologues ou des médecins généralistes pratiquant les actes de suivi gynécologique.
Différents professionnels de santé peuvent encadrer le parcours :
- Diététicien
- APA
- Psychologue
- Médecin de la douleur
- Psychiatre
- Infirmières scolaires
- Ostéopathes…
Prise en charge de l’endométriose
L’endométriose est une pathologie gynécologique chronique, qui se caractérise par le développement de la muqueuse interne utérine (l’endomètre) en dehors de l’utérus, colonisant parfois d’autres organes. Des fragments d’endomètre se déposent alors sur les ovaires, la vessie, le rectum, le péritoine (membrane qui recouvre les viscères) et peuvent provoquer des douleurs du bas, ventre et d’autres symptômes fonctionnels selon leur localisation.
Source : https://sante.gouv.fr/soins-et-maladies/prises-en-charge-specialisees/endometriose-11356/endometriose
Prise en charge de l’IVG
L’IVG (Interruption Volontaire de Grossesse, ou avortement) désigne l’expulsion de l’embryon ou du fœtus hors de l’ utérus, lors d’une intervention médicale.
L’IVG se pratique dans un centre spécialisé avec des professionnels formés à cette fin et à l’accueil des patientes. Dans tous les cas, seul un médecin peut la réaliser. La confidentialité est garantie par le secret médical et vous n’êtes pas tenue d’informer vos proches de votre décision.
Il existe deux méthodes d’IVG : l’IVG médicamenteuse et l’IVG chirurgicale (ou instrumentale). La femme enceinte doit avoir une information détaillée sur ces deux méthodes et choisit, avec son médecin ou une sage-femme, la plus adaptée à sa situation.
MÉDICAMENTEUSE
L’IVG médicamenteuse consiste à prendre des médicaments qui provoquent l’interruption de la grossesse et l’expulsion de l’embryon.
Déroulement de l’IVG médicamenteuse
En France, cette méthode consiste à prendre successivement deux médicaments.
Un médicament antiprogestérone : la mifépristone
Il interrompt la grossesse. Ce médicament est pris par voie orale :
- au cours d’une consultation en présence d’un médecin ou d’une sage-femme (le médicament est remis par le professionnel),
- ou à domicile après une téléconsultation (le médicament est délivré par une pharmacie).
Des saignements après la prise de ce médicament sont possibles. Cela ne veut pas dire que l’interruption de grossesse a eu lieu. Il est indispensable de prendre le deuxième médicament.
Puis une prostaglandine : le misoprostol
Ce médicament est pris 24 à 48 heures plus tard par voie orale, sublinguale (sous la langue) ou trans-muqueuse orale (à l’intérieur de la joue) :
- soit lors d’une consultation, mais il y a un risque d’expulsion sur le trajet de retour au domicile ;
- soit, de préférence, à domicile après prescription par un établissement de santé, par un professionnel de ville autorisé (médecin et sage femme) ou par un centre de planification ou d’éducation familiale ayant établi une convention avec un établissement de santé.
Ce médicament provoque des contractions et l’expulsion de l’embryon. Celle-ci survient généralement dans les 3 à 4 heures suivant la prise de ce second médicament, mais peut parfois se produire dans les 24 à 72 heures.
CHIRURGICALE
L’IVG instrumentale repose sur la dilatation du col et l’évacuation du contenu utérin par aspiration.
Déroulement de l’IVG instrumentale
L’IVG instrumentale consiste, dans un premier temps, à dilater progressivement le col de l’utérus.
Pour faciliter cette dilatation, une préparation médicamenteuse du col de l’utérus est recommandée. La préparation cervicale repose sur :
- une antiprogestérone, la mifépristone (à prendre par la bouche 36 à 48 heures avant l’aspiration) ou sur une prostaglandine, le misoprostol (à prendre par la bouche 3 à 4 heures avant l’aspiration) ;
- ou sur le géméprost (un ovule par voie vaginale 3 heures avant l’aspiration).
Une fois le col bien ouvert, le médecin introduit dans l’utérus un petit tube (ou canule) relié à un dispositif permettant d’aspirer le contenu utérin.
Cette technique est réalisée sous anesthésie locale (seul le col de l’utérus est anesthésié) ou générale selon la situation médicale et le choix de la femme. Si une anesthésie générale est nécessaire, une consultation pré-anesthésie est obligatoire.
Source : https://www.ameli.fr/var/assure/sante/themes/ivg/methodes-ivg-suivi
Parcours de suivi obstétrique
Bien identifié par les travaux scientifiques, les 1000 premiers jours de l’enfant c’est ce moment de vie unique qui court des premiers mois de grossesse au seuil de l’école maternelle. Au cours de cette période, l’apprentissage progresse à toute vitesse, plus vite qu’à tout autre moment de la vie. L’environnement physique, affectif et nutritionnel dans lequel évolue l’enfant façonne sa santé globale et son bien-être futur. Les 1000 premiers jours offrent donc une multitude d’opportunités pour soutenir le bon développement de l’enfant et construire avec lui certaines fondations de sa vie, pour lui et pour l’adulte qu’il deviendra. Les 1000 premiers jours, c’est aussi un temps de bouleversements et de vulnérabilités, au cours duquel l’enfant est particulièrement sensible à son environnement et aux évènements de vie. L’arrivée d’un enfant est alors l’occasion d’imaginer et de créer les environnements protecteurs, sains et sûrs dans lesquels il pourra s’épanouir et explorer pleinement ses capacités. Pour les parents, c’est aussi un temps de profonds changements, qui peuvent être sources de fatigue et d’émotions négatives. C’est pourquoi parents et enfants ont besoin d’être accompagnés et soutenus tout au long des 1000 premiers jours, afin qu’ils puissent vivre ensemble et sereinement ces premiers moments de vie. Enfin, les 1000 premiers jours c’est aussi le moment clef pour agir contre les inégalités sociales et leur reproduction, en œuvrant pour l’équité des chances d’une bonne santé physique, psychique et sociale. Parce que la précocité des interventions est souvent proportionnelle à leur efficacité, garantir le bon développement des enfants aujourd’hui, c’est agir pour les adultes et la société de demain.
Source : ttps://sante.gouv.fr/IMG/pdf/1000premiersjours-presentation-24.08.21.pdf
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Prévention
Violences conjugales : quelles aides?
Violences conjugales : Chantage, humiliation, injures, coups…
Les femmes victimes de violences conjugales peuvent contacter le 3919. Gratuit et anonyme, ce numéro de téléphone est désormais accessible 24h/24, 7j/7.
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